Les derniers événements relatés dans la presse nationale recèlent une certaine dose d’inquiétude quant à la véritable maturité du peuple sénégalais. Quand le capital culturel d’une société devient la panacée de ce qui devrait constituer ses moments récréatifs, de détentes pour ne pas dire de loisirs participant tout de même aux phases respiratoires qui doivent réguler les intenses moments de productions positives, il y a de quoi avoir peur. Nous vient en mémoire « Nuit de Sine », le poème culte de Senghor, l’enfant de Joal, où les séances de luttes, de danses et de chants ne sont organisées qu’après les récoltes…
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