Après une semaine de formation par des professionnels de la communication sur entres autre les techniques d’expressions, les 16 candidats en provenance des universités publiques du pays se sont affrontés lors de la finale nationale du concours Ma Thèse en 180 secondes qui a eu lieu hier au Canal Olympia de Dakar. Ce dernier a accueilli une foule en provenance des universités du pays (Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Université Virtuelle du Sénégal, Université Alioune Diop de Bambey, Université de Thiès, Université Assane Seck de Ziguinchor) venue assister à cette grande rencontre pour choisir le représentant du Sénégal à la finale internationale de ce prestigieux concours.
C’est suite aux discours de Mme Valery Leroy directrice adjointe de l’AUF en Afrique de l’Ouest, du représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, du Professeur Lamine Ndiaye, Directeur de l’ETHOS, que les candidats sous la supervision des membres du jury et du public, ont présenté leurs travaux de recherche en seulement 3 minutes. L’exercice consiste à présenter de manière claire et ludique sa thèse à un public profane en 180 secondes.
Après le passage des doctorants et docteurs qui ont tous fait une présentation de qualité, les membres du jury se sont retirés pendant un long moment pour choisir le/la lauréat (e) de cette édition 2019 du concours MT en 180 s. Au tour du Président du Jury, le Professeur Oumar Sock de proclamer les résultats de cette finale nationale. En plus du Prix du public, les trois meilleures présentations ont été choisies parmi les 16 candidats. Et c’est l’Université Alioune Diop de Bambey avec Madame Catherine Penda Mbaye qui remporte cette finale nationale. Elle représentera le Sénégal à la finale internationale qui se tiendra au Grand Théâtre le 26 septembre 2019. Les deux autres prix ainsi que le prix du public sont revenus respectivement à Monsieur Pape Moussa Saliou Gueye, à Monsieur Mansour Diouf et à Madame Mada Lucienne Tendeng.