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Enseignement à distance : Le filon du futur

Formation à distance

Le journal universitaire partage avec vous l’article sur l’atelier de la formation à distance tenu dans l’enceinte de la chambre de commerce de Dakar.

L’incontournable nécessité d’allier « étude et digital » est au cœur d’une révision de la formation à l’ère du numérique.

L’enceinte de la Chambre de commerce de Dakar grouille de monde pour la troisième édition des Mardis du numérique. Spécialistes, officiels, intervenants et spectateurs se penchent sur « la formation revisitée à l’ère du numérique ». Il s’agit, en effet, de partager sur les enjeux du numérique de manière globale, mais plus particulièrement, à ceux liés aux cours à distance.

Une méthode d’enseignement qui est de plus en plus répandue dans les pays développés et qui tardent à s’imposer chez ceux en développement. Le Sénégal ne veut pas être à la remorque du train.

D’ailleurs, une université virtuelle qui dispense exclusivement des cours à distance a été créée en 2013. Un certain nombre d’étudiants y sont orientés suivant plusieurs disciplines. Mame Boury, venue assister à la rencontre, fait partie des étudiants de l’Université virtuelle du Sénégal. La jeune fille âgée de 23 ans est en Licence 3 d’anglais. Elle compte boucler ses études à distance jusqu’à l’obtention du Master.

Du virtuel au réel
Ensuite, souligne-t-elle, elle envisage de « passer son Doctorat dans une université classique ». En bonne prévoyante, elle pose la question de la possibilité de poursuivre ses études dans les autres universités plus classiques. Les participants à « la formation revisitée à l’ère du numérique » répondent par « oui » à cette question rhétorique. Au cours des échanges, il a clairement été signifié que les diplômes délivrés dans les universités qui dispensent des cours à distance sont d’égale dignité avec ceux délivrés dans les établissements classiques. A côté de Mame Boury, il y a Macodou, âgé de 22 ans. Le jeune homme est, quant à lui, en deuxième année à l’Uvs. Il déclare être en harmonie avec ce système, qui lui permet « de travailler à un rythme responsable et raisonnable ». La flexibilité de son emploi du temps lui a permis de s’inscrire en même temps dans une école de formation privée. Ainsi, il cumule les deux formations. A l’Uvs, le jeune homme dit suivre la filière des Sciences économiques. Dans son école privée, Macodou se forme en informatique. Autre aspect non moins important aux yeux des apprenants, l’Etat du Sénégal a pris l’initiative de fournir des ordinateurs à tous les inscrits à l’Uvs. Ils bénéficient également d’une connexion internet gratuite. Cette décision permet aux étudiants de convenablement suivre les cours durant toute l’année. Toutefois, certains d’entre eux déplorent quelques couacs liés à la connexion. Pour Moussa Lô, coordonnateur de l’Uvs, « la plupart des difficultés de connexion proviennent de l’opérateur. Mais, nous travaillons en parfaite intelligence et apportons avec diligence des solutions idoines en cas de nécessité ».

Par Oumar BA

MARY TEUW NIANE : « LES OUTILS DIGITAUX BOULEVERSENT LES PRATIQUES DE L’ENSEIGNEMENT »
Mary T Niane x

Les sociétés ont connu depuis quelques décennies des bouleversements importants qui imposent des initiatives radicales.

C’est, du moins, l’avis du Professeur Mary Teuw Niane, ministre de l’Enseignement supérieur, présent à la troisième édition des Mardis du numérique. Au vu des bouleversements, il s’impose dès lors une prise en charge particulière qui n’est pas forcément conforme aux modes traditionnels de gestion. « Le bouleversement le plus important est lié à la révolution du numérique. Il n’épargne aucun aspect de l’existence humaine. Des domaines insoupçonnés sont concernés et s’échinent à adopter les démarches de prises en charge traditionnelles. Comment aurait-on pu imaginer, il y a de cela cinquante ans, ce qui se passe aujourd’hui ? Nous sommes les témoins de ces grands bouleversements », analyse le Professeur Niane.

Le domaine de la formation ne fait point exception à la règle. « Nous nous devons de montrer notre implication en prenant des initiatives qui évitent de nous marginaliser sur la voie du développement. Il nous faut bien prendre le virage qui mène au développement et nous doter de moyens qui vont dans le sens du renforcement de la pédagogie sous toutes les formes », renchérit le ministre. C’est une des raisons pour lesquelles il invite à se conformer aux exigences de l’industrie de la connaissance. Le Sénégal a vu depuis trois ans son espace publique universitaire se modifier complètement. A l’image du continent, notre pays est en pleine mutation. « Il est vrai que cela n’a pas été très facile de mettre sur pied le projet de l’université virtuelle. Les outils digitaux bouleversent les pratiques de l’enseignement. Nous sommes cependant rassurés par la capacité de nos enseignants et de nos établissements à s’adapter à l’ère du temps. Le passage des tableaux à l’usage des vidéos projecteurs impose l’adoption des nouvelles technologies », informe le ministre.

Incontournable
Le numérique a permis de favoriser l’enseignement à distance. Il est reconnu maintenant comme pouvant apporter de la valeur ajoutée à la promotion classique des référentiels. Le Sénégal a la conviction qu’il faut renforcer les mécanismes d’acquisition de connaissances. C’est pourquoi les autorités ont pris l’initiative depuis 2013 d’intégrer dans le programme de la formation de l’enseignement à distance à travers l’Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Au-delà de l’impacter dans le mode de transmission des savoirs, cette approche va également avoir des conséquences sur toutes les populations à travers les réseaux des espaces numériques. Cette donne renforce l’équité dans l’accès au savoir. « Nous ambitionnons de construire 50 espaces numériques. Aujourd’hui, nous en sommes à 19. Dans chaque région du Sénégal, nous comptons construire un édifice dédié au numérique. A la fin du projet, à l’horizon 2022, nous aurons 21.000 places simultanées disponibles. C’est un potentiel extraordinaire difficile à trouver à travers le monde », informe le Professeur Mary Teuw Niane. Une telle transformation de l’enseignement digital ne peut aller sans une certaine résistance dans ce contexte de la transformation et de l’innovation, et le Sénégal en a pris le pari, ajoute-t-il.

Par Oumar BA

PROFESSEUR MOUSSA LO, COORDONNATEUR DE L’UVS : « LES DIPLÔMES DÉLIVRÉS SONT D’ÉGALE DIGNITÉ AVEC CEUX DES UNIVERSITÉS PRIVÉES ET PUBLIQUES »
Moussa lo UvsDans son intervention, le gestionnaire de l’Université virtuelle du Sénégal  (Uvs), Professeur Moussa Lô est largement revenu sur les opportunités de l’enseignement numérique. Selon lui, un enseignement qui est dispensé en numérique doit être de qualité supérieure par rapport aux autres enseignements. Cela se justifie par le fait qu’un ensemble de dispositifs est mis à la portée de l’enseignant.

« Ce qui lui permet d’améliorer la qualité », relève-t-il. A travers ce système d’enseignement, il est clair que le nombre de personnes concernées augmente sensiblement. « Nous avons aujourd’hui la chance d’avoir un cadre réglementaire favorable à l’enseignement à distance. Cet enseignement est d’égale dignité avec l’enseignement présentiel », informe-t-il.

« Il suffit juste que les dispositifs exigés soient respectés. Une fois l’accréditation obtenue, il n’y a plus d’obstacle et le diplôme demeure le même. L’ambition de l’Université virtuelle du Sénégal, c’est de rendre le savoir accessible à tous», projette M. Lô.

L’enseignement à distance est pris en compte dans toutes les conventions au niveau mondial.

La communication, un axe prioritaire
Les participants à la réflexion sur « la formation revisitée à l’ère numérique » ont, en outre, invité les ménagers de l’Université virtuelle du Sénégal (Uvs) à davantage s’impliquer dans la communication. C’est elle qui permet à l’opinion de comprendre davantage les enjeux et de pouvoir ainsi se départir de toute forme de préjugés.

« Sur ce plan, il y a énormément de travail à faire, d’autant plus qu’en Afrique, cette forme d’enseignement n’est pas encore totalement intégrée », souligne Ibrahima Nour Eddine Diagne, un des initiateurs des Mardis du numériques. Aux gouvernants, les participants rappellent qu’ils ont autant l’exigence de satisfaire les demandes du présent, mais également celle d’anticiper dans le futur. « Quand vous désirez construire pour le futur, vous ne devez pas chercher à être compris, mais plutôt à être suivi », affirme M. Diagne. Ce dernier, poursuivant son propos, souligne qu’aujourd’hui, les produits qui sortent des universités souffrent parfois d’un déficit de compétences. « Quand j’évoque l’Université, je parle autant des établissements publics que privés. Il est important, à mon sens, qu’il y ait une sorte de mise à niveau sur des domaines particuliers tels que l’aptitude linguistique. Une mise à niveau sur les aptitudes numériques est également nécessaire», suggère-t-il.

L’incontournable nécessité d’allier « étude et digital » est au cœur d’une révision de la formation à l’ère du numérique. L’enceinte de la Chambre de commerce de Dakar grouille de monde pour la troisième édition des Mardis du numérique. Spécialistes, officiels, intervenants et spectateurs se penchent sur « la formation revisitée à l’ère du numérique ». Il s’agit, en effet, de partager sur les enjeux du numérique de manière globale, mais plus particulièrement, à ceux liés aux cours à distance. Une méthode d’enseignement qui est de plus en plus répandue dans les pays développés et qui tardent à s’imposer chez ceux en développement. Le Sénégal ne veut pas être à la remorque du train. D’ailleurs, une université virtuelle qui dispense exclusivement des cours à distance a été créée en 2013. Un certain nombre d’étudiants y sont orientés suivant plusieurs disciplines. Mame Boury, venue assister à la rencontre, fait partie des étudiants de l’Université virtuelle du Sénégal. La jeune fille âgée de 23 ans est en Licence 3 d’anglais. Elle compte boucler ses études à distance jusqu’à l’obtention du Master. Du virtuel au réel Ensuite, souligne-t-elle, elle envisage de « passer son Doctorat dans une université classique ». En bonne prévoyante, elle pose la question de la possibilité de poursuivre ses études dans les autres universités plus classiques. Les participants à « la formation revisitée à l’ère du numérique » répondent par « oui » à cette question rhétorique. Au cours des échanges, il a clairement été signifié que les diplômes délivrés dans les universités qui dispensent des cours à distance sont d’égale dignité avec ceux délivrés dans les établissements classiques. A côté de Mame Boury, il y a Macodou, âgé de 22 ans. Le jeune homme est, quant à lui, en deuxième année à l’Uvs. Il déclare être en harmonie avec ce système, qui lui permet « de travailler à un rythme responsable et raisonnable ». La flexibilité de son emploi du temps lui a permis de s’inscrire en même temps dans une école de formation privée. Ainsi, il cumule les deux formations. A l’Uvs, le jeune homme dit suivre la filière des Sciences économiques. Dans son école privée, Macodou se forme en informatique. Autre aspect non moins important aux yeux des apprenants, l’Etat du Sénégal a pris l’initiative de fournir des ordinateurs à tous les inscrits à l’Uvs. Ils bénéficient également d’une connexion internet gratuite. Cette décision permet aux étudiants de convenablement suivre les cours durant toute l’année. Toutefois, certains d’entre eux déplorent quelques couacs liés à la connexion. Pour Moussa Lô, coordonnateur de l’Uvs, « la plupart des difficultés de connexion proviennent de l’opérateur. Mais, nous travaillons en parfaite intelligence et apportons avec diligence des solutions idoines en cas de nécessité ». Par Oumar BA MARY TEUW NIANE : « LES OUTILS DIGITAUX BOULEVERSENT LES PRATIQUES DE L’ENSEIGNEMENT » Les sociétés ont connu depuis quelques décennies des bouleversements importants qui imposent des initiatives radicales. C’est, du moins, l’avis du Professeur Mary Teuw Niane, ministre de l’Enseignement supérieur, présent à la troisième édition des Mardis du numérique. Au vu des bouleversements, il s’impose dès lors une prise en charge particulière qui n’est pas forcément conforme aux modes traditionnels de gestion. « Le bouleversement le plus important est lié à la révolution du numérique. Il n’épargne aucun aspect de l’existence humaine. Des domaines insoupçonnés sont concernés et s’échinent à adopter les démarches de prises en charge traditionnelles. Comment aurait-on pu imaginer, il y a de cela cinquante ans, ce qui se passe aujourd’hui ? Nous sommes les témoins de ces grands bouleversements », analyse le Professeur Niane. Le domaine de la formation ne fait point exception à la règle. « Nous nous devons de montrer notre implication en prenant des initiatives qui évitent de nous marginaliser sur la voie du développement. Il nous faut bien prendre le virage qui mène au développement et nous doter de moyens qui vont dans le sens du renforcement de la pédagogie sous toutes les formes », renchérit le ministre. C’est une des raisons pour lesquelles il invite à se conformer aux exigences de l’industrie de la connaissance. Le Sénégal a vu depuis trois ans son espace publique universitaire se modifier complètement. A l’image du continent, notre pays est en pleine mutation. « Il est vrai que cela n’a pas été très facile de mettre sur pied le projet de l’université virtuelle. Les outils digitaux bouleversent les pratiques de l’enseignement. Nous sommes cependant rassurés par la capacité de nos enseignants et de nos établissements à s’adapter à l’ère du temps. Le passage des tableaux à l’usage des vidéos projecteurs impose l’adoption des nouvelles technologies », informe le ministre. Incontournable Le numérique a permis de favoriser l’enseignement à distance. Il est reconnu maintenant comme pouvant apporter de la valeur ajoutée à la promotion classique des référentiels. Le Sénégal a la conviction qu’il faut renforcer les mécanismes d’acquisition de connaissances. C’est pourquoi les autorités ont pris l’initiative depuis 2013 d’intégrer dans le programme de la formation de l’enseignement à distance à travers l’Université virtuelle du Sénégal (Uvs). Au-delà de l’impacter dans le mode de transmission des savoirs, cette approche va également avoir des conséquences sur toutes les populations à travers les réseaux des espaces numériques. Cette donne renforce l’équité dans l’accès au savoir. « Nous ambitionnons de construire 50 espaces numériques. Aujourd’hui, nous en sommes à 19. Dans chaque région du Sénégal, nous comptons construire un édifice dédié au numérique. A la fin du projet, à l’horizon 2022, nous aurons 21.000 places simultanées disponibles. C’est un potentiel extraordinaire difficile à trouver à travers le monde », informe le Professeur Mary Teuw Niane. Une telle transformation de l’enseignement digital ne peut aller sans une certaine résistance dans ce contexte de la transformation et de l’innovation, et le Sénégal en a pris le pari, ajoute-t-il. Par Oumar BA PROFESSEUR MOUSSA LO, COORDONNATEUR DE L’UVS : « LES DIPLÔMES DÉLIVRÉS SONT D’ÉGALE DIGNITÉ AVEC CEUX DES UNIVERSITÉS PRIVÉES ET PUBLIQUES » Dans son intervention, le gestionnaire de l’Université virtuelle du Sénégal  (Uvs), Professeur Moussa Lô est largement revenu sur les opportunités de l’enseignement numérique. Selon lui, un enseignement qui est dispensé en numérique doit être de qualité supérieure par rapport aux autres enseignements. Cela se justifie par le fait qu’un ensemble de dispositifs est mis à la portée de l’enseignant. « Ce qui lui permet d’améliorer la qualité », relève-t-il. A travers ce système d’enseignement, il est clair que le nombre de personnes concernées augmente sensiblement. « Nous avons aujourd’hui la chance d’avoir un cadre réglementaire favorable à l’enseignement à distance. Cet enseignement est d’égale dignité avec l’enseignement présentiel », informe-t-il. « Il suffit juste que les dispositifs exigés soient respectés. Une fois l’accréditation obtenue, il n’y a plus d’obstacle et le diplôme demeure le même. L’ambition de l’Université virtuelle du Sénégal, c’est de rendre le savoir accessible à tous», projette M. Lô. L’enseignement à distance est pris en compte dans toutes les conventions au niveau mondial.   La communication, un axe prioritaire Les participants à la réflexion sur « la formation revisitée à l’ère numérique » ont, en outre, invité les ménagers de l’Université virtuelle du Sénégal (Uvs) à davantage s’impliquer dans la communication. C’est elle qui permet à l’opinion de comprendre davantage les enjeux et de pouvoir ainsi se départir de toute forme de préjugés. « Sur ce plan, il y a énormément de travail à faire, d’autant plus qu’en Afrique, cette forme d’enseignement n’est pas encore totalement intégrée », souligne Ibrahima Nour Eddine Diagne, un des initiateurs des Mardis du numériques. Aux gouvernants, les participants rappellent qu’ils ont autant l’exigence de satisfaire les demandes du présent, mais également celle d’anticiper dans le futur. « Quand vous désirez construire pour le futur, vous ne devez pas chercher à être compris, mais plutôt à être suivi », affirme M. Diagne. Ce dernier, poursuivant son propos, souligne qu’aujourd’hui, les produits qui sortent des universités souffrent parfois d’un déficit de compétences. « Quand j’évoque l’Université, je parle autant des établissements publics que privés. Il est important, à mon sens, qu’il y ait une sorte de mise à niveau sur des domaines particuliers tels que l’aptitude linguistique. Une mise à niveau sur les aptitudes numériques est également nécessaire», suggère-t-il.

Written by Binette Ndiaye

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